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LA RÉVOLUTION ET NOUS

~ le blogue historien de Claude Guillon

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Archives de Tag: Olivier Coquard

Visibilité de Charlotte Corday

28 vendredi Juin 2019

Posted by Claude Guillon in «Bêtisier»

≈ Commentaires fermés sur Visibilité de Charlotte Corday

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Charlotte Corday, Guillaume Mazeau, Gwenaële Robert, Marat, Michel Onfray, Olivier Coquard, Pauline Léon, Républicaines révolutionnaires, Vincent Bolloré

Créé en 2001 à l’initiative de Gwen-Aël Bolloré, le Prix Breizh «salue chaque année l’œuvre d’un auteur d’origine bretonne ou ami de la Bretagne». Le Prix Breizh, qui s’intitulait auparavant «prix Bretagne», ce qui on en conviendra pouvait prêter à confusion, est désormais «placé sous le mécénat» de M. Vincent Bolloré (Vivendi, Canal +, etc.).

Il vient d’être décerné à Mme Gwenaële Robert pour son livre Le dernier bain, paru chez Robert Laffont l’année dernière.

J’ignore si Mme Robert a la double qualité d’être «d’origine bretonne et amie de la Bretagne», mais en tout cas elle n’est pas une admiratrice de Marat. C’est son droit. Elle semble admirer beaucoup Charlotte Corday. C’est encore son droit.

Je sais ce que vous allez me dire: «Mais enfin, pourquoi persifler, alors que Charlotte Corday a tout de même assassiné un député élu, ce qui devrait susciter l’admiration de l’anarchiste que tu es?»

Eh! que voulez-vous, on a de ces contradictions! Et puisque vous en parlez, c’est sans doute l’une des raisons de mon agacement: rares sont les admirateurs.trices de Corday qui recommandent ou approuvent le députicide. D’ailleurs savent-elles seulement que Marat était député?

Qu’importe! Ce qui compte, c’est que Marat était un monstre. C’est au moins ce que l’éditeur Robert Laffont nous rappelle dans son prière d’insérer («prière de poignarder» serait plus adapté en l’espèce):

Paris, an II. La France vibre sous le souffle de la Terreur. Jane, une jeune Anglaise cachée dans l’appartement d’aristocrates émigrés, Théodose, un moine qui a renié sa foi par peur de la guillotine, Marthe, la lingère de Marie-Antoinette emprisonnée au Temple, David, le fameux peintre et député de la Convention, ou encore une Normande du nom de Charlotte Corday, tout juste arrivée à Paris… Ils sont nombreux, ceux qui tournent autour du logis de la rue des Cordeliers où Marat, cloîtré, immergé dans des bains de soufre, traque les suspects hostiles aux idées de la République. Il ignore que certains d’entre eux souhaitent sa mort et qu’il ne lui reste plus que trois jours à vivre. Par cette fiction qui nous propulse dans le cœur battant de l’Histoire, Gwenaële Robert détruit l’image sublime et mensongère que David nous a laissée de son ami Marat. Du bout de sa plume, grâce à un dispositif romanesque et à un sens de la reconstitution impressionnants, elle gratte le vernis de la peinture pour révéler la réalité du monstre.

Dans la petite vidéo qui suit, Mme Robert explique que son travail de romancière s’inscrit dans un mouvement plus général qui redonne une visibilité aux femmes dans la Révolution. Il serait plus exact de dire que ce mouvement – dont le regrettable Michel Onfray est la figure de proue médiatique – redonne de la visibilité aux femmes dans la contre-révolution. Je veux dire: non seulement dans la résistance à la révolution dans son cours même, en 1793 en l’espèce, mais dans l’usage contre-révolutionnaire qui en est fait aujourd’hui.

Expliquer que le courage et la sensibilité féminines se sont alliées (chez Corday et d’autres) pour résister à «la Terreur» incarnée par Marat est d’autant plus grotesque que les plus fervents admirateurs et partisans de l’Ami du peuple étaient précisément des admiratrices partisanes, qui lui ont voué un véritable culte: les Citoyennes républicaines révolutionnaires.

Des monstres femelles, probablement!

Ce minuscule incident édito-mondain montre à mon sens qu’il n’y a pas lieu de se réjouir de n’importe quelle espèce de mise en avant ou «réhabilitation» des femmes dans l’histoire. Je l’ai écrit récemment à propos d’une sympathique émission de France-Inter sur Pauline Léon, je le redis ici à propos de cet énième éloge de Charlotte Corday. Il n’existe pas d’histoire «neutre» et pas non plus de «féminisme» ou de «proféminisme» angélique. C’est d’ailleurs le problème originel du féminisme (voyez Olympe de Gouges) qui a retardé et contrarié son expansion durant au moins tout le XIXe siècle (et pas seulement l’incontestable résistance de beaucoup d’hommes). Je ne crois pas que tout soit «bon à prendre» de ce point de vue, ni du point de vue de l’exactitude historique ni du point de vue d’un actuel féminisme révolutionnaire.

Tâchons de ne pas critiquer un livre sans en recommander un autre. Outre l’excellente biographie d’Olivier Coquard (qu’il conviendrait de rééditer), je recommande une fois de plus la lecture du passionnant ouvrage de Guillaume Mazeau, aussi agréable à lire qu’un roman, Le Bain de l’histoire (Champ Vallon).

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MARAT-BOUT DE FICELLE…

24 jeudi Août 2017

Posted by Claude Guillon in «Articles»

≈ Commentaires fermés sur MARAT-BOUT DE FICELLE…

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Éditions Libertalia, Dominic Rousseau, Hervé Leuwers, Jacques De Cock, Jacques Roux, Marat, Maurice Dommanget, Olivier Coquard, Robespierre, Serge Bianchi, Société des études robespierristes, Théophile Leclerc, Walter Markov

Capture d_écran 2017-07-24 à 20.04.08J’éprouve de la sympathie pour l’historien Serge Bianchi, dont j’ai apprécié les travaux sur les « curés rouges » et sur les sociétés populaires. Par ailleurs, l’ayant entendu affirmer en public – lors d’une AG de la Société des études robespierristes (SER), où nous nous croisons – son intérêt pour mes recherches sur les Enragés, je me pensais autorisé à croire cette sympathie, humaine et historienne, partagée.

Son récent livre sur Marat a suscité chez moi déception et perplexité, dont l’expression ici tentée ne procède donc pas d’une animosité, à laquelle j’aurais trouvé un providentiel exutoire.

La publication d’une « nouvelle » biographie d’un personnage célèbre pose un problème de fond : qu’est-ce qui la justifie ? En quoi renouvelle-t-elle la vision du personnage ? Quelles archives inconnues mobilise-t-elle ? Ou autrement formulée : son opportunité dépend-elle d’arguments positifs ou… de la date de la dernière biographie – plus ancienne ? On a pu se poser la question récemment à propos de Robespierre, Hervé Leuwers se tirant avec les honneurs de l’exercice.

On peut se la poser à propos de Marat, dont – à ma connaissance – la précédente biographie, a été rédigée par Olivier Coquard et publiée en 1993 chez Fayard (vingt-quatre ans déjà !). C’est d’ailleurs, disons le immédiatement, une bonne occasion de la (re)lire, et de la rééditer – en poche !

La présentation du livre de Serge Bianchi frise – peut-être est-ce davantage le fait de son éditeur ? – la publicité mensongère. La couverture affiche un titre Marat et un sous-titre «L’Ami du peuple». Les curieux·ses ne doivent pas perdre de vue les subtilités de la typographie. Il s’agit bien du titre du journal de Marat, entre guillemets et en italique, et non le titre que Marat s’attribue à lui-même, ce qui correspond à la lecture spontanée (la mienne, au moins).

Or, si le livre de S. Bianchi se présente en quatrième de couverture, comme une « biographie » de Marat, couvrant donc l’ensemble de sa vie, le contenu de l’ouvrage dément cette annonce. Si les années précédant la publication de L’Ami du peuple sont bien traitées, c’est en 36 pages, sur 404, soit un onzième du livre. À titre de comparaison, O. Coquard leur consacre 203 pages (passionnantes) sur 565, soit presque un tiers du livre. Il est vrai qu’on imagine mal, sauf découverte récente dans les archives, pouvoir faire autre chose que résumer platement le travail détaillé de Coquard.

Les archives, parlons en ! La quatrième de couverture du Bianchi assure que l’ouvrage se « fonde sur une analyse inédite des archives ». Difficile de ne pas considérer cette affirmation comme mensongère quand chacun·e peut vérifier qu’aucune mention de cote d’archives ne figure dans l’ouvrage. Si analyse nouvelle il y avait, ce serait de la lecture que d’autres historiens ont fait des archives. Ici, le terme qui s’impose à l’esprit est celui de compilation. Et ce d’autant que l’absence de cotes indique que l’auteur n’a pas pris la peine de relire lui-même les archives étudiées par d’autres (à l’exception des journaux de Marat) – dont il aurait pu, en effet, proposer des analyses renouvelées ou corriger des erreurs de lecture.

Il arrive à tout le monde – et à moi aussi – de commettre des erreurs, menues ou plus graves, historiennes ou grammaticales, et de laisser passer des fautes typographiques. Il échappe ainsi à Olivier Coquard de prénommer dans son index l’Enragé Leclerc « Jean-Baptiste » (député à la Convention) au lieu de « Théophile ». Le livre de S. Bianchi donne, de ce point de vue, une impression dommageable de précipitation.

Des coquilles (3 pour la seule p. 33) ; un bourdon p. 52 ; Morelli au lieu de Morelly p. 274, « James de Cock » au lieu de « Jacques De Cock » pp. 48 & 245, etc.

Écrire (p. 47) que Marat « n’enjoint pas à marcher sur Versailles directement » prête à confusion… de laquelle l’auteur est lui-même victime quand il écrit par la suite (p. 183) : « [Marat] fait sonner le tocsin aux Cordeliers sans marcher directement sur Versailles », ce qui n’a plus aucun sens.

On ne sait pourquoi, Varlet figure – p. 219, et heureusement nulle part ailleurs – en lieu et place de Théophile Leclerc comme ayant repris, parallèlement à Jacques Roux, un titre du défunt Marat.

À propos de ce pauvre Marat, si j’admets que son sang « sourd » de sa blessure, il devrait dégoutter du couteau, et non en sourdre (p. 256). Et puisque nous en sommes au maniement de la lame, dont on va me prendre pour un spécialiste tatillon, je doute que Judith ait simplement « poignardé » Holopherne (p. 197). Elle l’a décapité, effort qui nécessite et mérite la précision.

Venons-en à la bibliographie, et singulièrement aux ouvrages concernant les Enragés.

Si Maurice Dommanget et Walter Markov sont bien mentionnés dans le cours du texte, leurs ouvrages ne figurent pas dans la bibliographie.

Pire ! Bianchi, membre du CA de la SER quand ce projet a été acté, ne mentionne pas la traduction de la biographie de Jacques Roux par Markov qui va paraître en octobre, coédité par la SER et les éditions Libertalia…

Je note en passant que Serge Bianchi y est signalé dès l’introduction. Chacun ses méthodes…

Quant aux deux ouvrages de Claude Guillon[1], on en cherchera vainement la mention, où que ce soit dans le livre. Oubli ? Difficile de le croire quand figure en bibliographie l’opuscule de Dominic Rousseau sur Roux (Éd. Spartacus), dont j’ai dit sur ce blogue le peu de bien que je pense. Un choix, alors. Mais reposant sur quoi ? Mystère et boule de gomme…

Espérons que les lectrices et lecteurs, attirés vers le Bianchi du fait de sa nouveauté (chronologique) pourront être au moins retenu·e·s par les extraits de textes de Marat proposés (70 pages) et qu’ils trouveront, seul·e·s, le chemin d’ouvrages plus aboutis.

_________________

Marat, Serge Bianchi, Belin, 410 pages, 25 €.

Statut de l’ouvrage : acheté en librairie.

 

Nota. Une éventuelle réponse de S. Bianchi sera publiée avec plaisir.

 

 

 

 

 

 

[1] Un jeune auteur plein de talent, dont il faudra que je vous parle quelque jour.

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Anne Félicité Colombe, imprimeuse de Marat (1791)

22 lundi Déc 2014

Posted by Claude Guillon in «Articles», «Documents»

≈ Commentaires fermés sur Anne Félicité Colombe, imprimeuse de Marat (1791)

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Anne Félicité Colombe, Dominique Godineau, Jacques Roux, L'Ami du peuple, Marat, Olivier Coquard, Républicaines révolutionnaires

Dans mon article consacré au « Club patriotique féminin » publié par Marat, en 1790, j’ai cité Olivier Coquard affirmant que la lettre de ce club est la seule lettre féminine du corpus étudié par lui, c’est à dire de la correspondance publiée par Marat.

Or Coquard parle des lettres adressées à Marat. Mais ce dernier publie au moins deux autres lettres écrites par une femme, en 1791, adressées au maire de Paris.

Il s’agit de deux lettres d’Anne Félicité Colombe, propriétaire de l’imprimerie d’Henri IV et imprimeuse de l’Ami du Peuple, incarcérée de ce fait en 1791.

C’est aussi une future militante de la Société des Citoyennes républicaines révolutionnaires. Jacques Roux la citera parmi les militantes les plus connues du Club.

Elles sont publiées dans L’Ami du Peuple, n° 571, du 11 octobre 1791, pp. 7-8.

Ce numéro figure au t. VI des Œuvres politiques, publiées aux Éditions Pôle Nord en 1993. On peut également consulter et télécharger sur le site de Jacques De Cock sa brochure Un journal dans la Révolution : L’Ami du Peuple, dans laquelle il revient longuement sur les rapports de Marat avec A.-F. Colombe et ses imprimeurs en général.

[Tout le passage, comme on le voit sur l’illustration, et comme J. De Cock le note, est barré en travers sur l’exemplaire corrigé par Marat, aujourd’hui disponible sur Gallica. J’ai repris l’orthographe de l’original.]

 

Tout Paris a su…

Tout Paris a su que Mlle COLOMBE, éditrice de l’Ami du Peuple, était enveloppée dans la proscription des amis de la liberté, que les agents ministériels s’efforcerent de faire périr par le glaive des tribunaux, après le massacre des patriotes au Champ-de-Mars [17 juillet 1791].

Il serait difficile d’exprimer les outrages que Mademoiselle Colombe à soufferts pendant 12 heures à la Mairie, le jour de son arrestation, tant de la part des créatures du Maire et de la soldatesque, qui formait sa garde, que des aides-de-camp du sieur Mottié [Motier*]. Les atrocités qu’elle a endurées à l’hôtel de la Force, à l’Abbaye et à la Conciergerie, font horreur. Mais si [la] barbarie de ses persécuteurs était extrême, son courage était encore plus grand. Le sentiment de son innocence et de la cause pour laquelle elle souffrait, l’élevait au-dessus de celui de ses maux et de la crainte des tourmens. Son énergie a étonné ses tyrans, ses gardiens et ses juges. Elle est entrée dans une sombre prison sans pâlir, et elle en est sortie sans avoir fléchi un instant sous ses oppresseurs.

Je vais mettre sous les yeux de mes lecteurs deux lettres qu’elle écrivit au sieur Bailly, dans les premiers jours de sa détention, moins comme des preuves de l’énergie de cette martyre de la liberté, que comme un exemple de fermeté à proposer aux opprimés.

De l’hôtel de la Force, ce 22 juillet 1791.

Au maire de Paris

Grace à vos soins paternels, Monsieur, me voilà dans les fers, au milieu des scélérats et des femmes de mauvaise vie. C’est donc ainsi, juge inique, que vous confondez les innocens avec les malfaiteurs. Pressez mon jugement et ne prolongez plus ma captivité : c’est la protection de la loi que je réclame ; quant à la vôtre, je la méprise.

Des prisons de l’Abbaye St-Germain, ce 30 juillet.

Au maire de Paris,

Depuis dix jours je suis dans les fers, sans avoir encore** commis aucune action illicite, sans savoir de quoi l’on m’accuse, et sans avoir encore été interrogée, au mépris du décret qui ordonne que tout détenu le sera dans les 24 heures, et qu’on le remettra immédiatement en liberté. L’accusateur ne se présente pas***.

S’il vous reste quelque pudeur, mettez la main sur la conscience, et dites-moi comment vous accordez le respect que vous affichez pour les loix avec l’audace que vous montrez à les enfreindre ? N’oubliez pas que je suis innocente, et que je suis dans les fers.

Capture d’écran 2014-12-22 à 17.31.08 __________________

* C’est le nom du marquis de La Fayette, qui a fait tirer sur les manifestants venus au Champ-de-Mars pétitionner pour réclamer la déchéance du roi.

* Ce mot est barré dans l’exemplaire corrigé par Marat (voir illustration).

** Marat corrige : « […] en liberté, l’accusateur ne se présentant pas. »

Bibliographie

Voir la notice concernant A. F. Colombe dans Citoyennes tricoteuses, de Dominique Godineau, 1988, p. 370.

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