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Monogrammé P.P.
Huile sur toile d’origine 55,5×45,5
Bon état d’usage, dans son jus, pas d’accident, nettoyage necessaire.
Époque fin XIXe, beau châssis d’origine à clés.
30 jeudi Juin 2022
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in≈ Commentaires fermés sur “Femme en costume pendant le siège de Paris 1870-1871“
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16 jeudi Déc 2021
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in≈ Commentaires fermés sur Les Barricades rue Coquenard (25 février 1848) ~ par Richard Edmond Flatters
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Richard Edmond Flatters (1822-1876) a peint une scène de barricade située rue Coquenard lors de la journée du 25 février 1848. La rue Coquenard est devenue la rue Lamartine aujourd’hui.
De nombreux détails sont mis en lumière et nous racontent cette période historique, la troisième révolution qui mis fin à la monarchie.
Notre tableau est signé en bas à gauche et peint sur sa toile d’origine.
En vente sur Proantic.
13 lundi Déc 2021
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in≈ Commentaires fermés sur Portrait de Raoul Rigault, communard (par Gustave Courbet ?)
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05 mardi Oct 2021
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in≈ Commentaires fermés sur Une jolie miniature
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En vente sur ebay, un joli portrait de femme, mystérieux comme nous les aimons, qui marrie (peut-être) des rubans aux trois couleurs du (récent) drapeau républicain.
19 dimanche Sep 2021
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in≈ Commentaires fermés sur ”La légèreté et le grave. Une histoire du XVIIIe siècle en tableaux” ~ de Cécile Berly
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Le XVIIIe siècle s’ouvre avec Le Pèlerinage à l’île de Cythère d’Antoine Watteau et s’achève avec La Mort de Marat de Jacques-Louis David : la naissance de la fête galante versus l’agonie d’un tribun révolutionnaire. Deux chefs-d’œuvre qui illustrent la légèreté et la gravité d’un siècle, deux facettes antagonistes mais complémentaires d’une même époque. Les dix œuvres ici racontées sont ainsi autant de jalons pour saisir ce siècle passionnant dans ses innombrables contradictions : elles correspondent toutes à un moment du XVIIIe et disent son histoire artistique, culturelle, philosophique, sociale, économique et, bien évidemment, politique. Autant de chefs-d’œuvre qui ont forgé une société nouvelle, éprise de liberté, d’indépendance et de transgressions, au fil d’un siècle qui, sous la plume sensible de Cécile Berly, oscille sans cesse entre une légèreté savamment entretenue et une gravité qui confine au drame.
Éditions Passés composés, 150 p., 24 €. Sortie, le 20 octobre.
29 samedi Mai 2021
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in≈ Commentaires fermés sur Pierre-Joseph Desault, chirurgien en chef de l’Hôtel-Dieu de Paris
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Hôpitaux, Hôtel-Dieu (Paris), Louis XVI, Médecine, Peinture, Pierre-Joseph Desault
École française vers 1820 : Portrait de Pierre-Joseph Desault, chirurgien en chef de l’Hôtel-Dieu de Paris.
Huile sur panneau à vue ovale. 28 x 22 cm. Cadre en bois et stuc doré à décor de palmettes, coquilles et perles. Dimensions totales du cadre: 44 x 38 cm. (usures et petits manques de stuc).
Chirurgien en chef de l’Hôpital de la Charité en 1782 puis de l’Hôtel-Dieu en 1788, Pierre-Joseph Desault enseigna l’anatomie sur des cadavres et non plus sur les planches murales ou sur des pièces de cire. Pendant la Révolution française, il se dévoua aux malades et aux blessés. Il fut élu en 1792 membre du comité de santé des armées et devint professeur de clinique chirurgicale à la nouvelle école de santé. Malgré cela, il fut arrêté comme suspect en 1793 et ne dût sa libération qu’à une pétition d’une cinquantaine de médecins. Il fut chargé en 1795 de donner des soins au jeune fils de Louis XVI: Louis XVII. Il mourut lui-même pendant ce traitement.
La chirurgie lui doit un grand nombre d’inventions ou de perfectionnements importants, parmi lesquels on remarque ses appareils pour les fractures en particulier de la clavicule et pour les maladies des voies urinaires, dans lesquelles il fut le premier à utiliser les sondes en gomme. En 2004, à Cassino (Italie), un colloque lui a été consacré comme l’inventeur de la néphrologie. Il fut aussi l’un des premiers à pratiquer la trachéotomie.
En vente ICI.
19 mercredi Mai 2021
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in≈ Commentaires fermés sur Portrait de Lise Cardon, mère de Madame Campan
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Adolf-Ulrich Wertmüller, Lise Cardon, Marie-Antoinette, Mme Campan, Peinture
Adolf Ulrich WERTMÜLLER (Stockholm 1751-Wilmington, USA 1811)
Portrait de Lise Cardon, mère de madame Campan
Toile ovale, signée à gauche : «Wertmüller . S / à Paris 1785.»
(Accidents, soulèvements et manques.)
Cadre en bois et stuc doré d’époque Louis XVI
Haut. : 65 cm ; Larg. : 54 cm
Fille du receveur des domaines du prince de Chimay et d’une irlandaise, Marie-Anne-Louise dite Lise Cardon épousa en 1752 Edme Genet qui allait devenir quelques mois plus tard secrétaire interprète aux Affaires Étrangères.
Henriette Genet (Madame Campan), leur fille aînée, sera lectrice des filles de Louis XV, femme de chambre de Marie-Antoinette puis directrice de la maison d’éducation de la Légion d’honneur. Elle laissa à la postérité des Mémoires dépeignant une fresque passionnante de la vie de la Cour à la fin de l’Ancien régime.
Edmé Genet et Lise Cardon furent également les parents d’Edmond Genet (1763-1834) qui devait marquer l’histoire en devenant le premier ambassadeur de France aux États-Unis durant la Révolution française (1793).
Lise Cardon est ici portraiturée par Adolf-Ulrich Wertmüller, peintre de la bourgeoisie d’affaires bordelaise appartenant au groupe prometteur des artistes suédois en France, aux côtés de son oncle Alexandre Roslin, plus spécialement actif à Paris, et de Pehr-Eberhard Cogell, installé à Lyon.
Peintre de la cour de Suède et membre de l’Académie des Beaux-Arts suédoise, Adolf Ulrich Wertmüller est le fils du pharmacien et médecin de la Cour Alexandre Wertmüller. Il compte parmi ses plus prestigieux modèles la reine Marie-Antoinette dont il a réalisé un portrait en pied accompagnée de ses enfants dans le parc de Trianon (Salon de 1785) et le président George Washington (1795).
La famille de Lise Cardon commanda à Wertmüller d’autres portraits, notamment ceux de la seconde fille du couple, Adélaide-Henriette Auguiè en laitière (1787) et de leur petit-fils Henri Bertholet-Campan avec son chien (1786).
En vente ICI.
13 samedi Mar 2021
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in≈ Commentaires fermés sur La liberté en miniature
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Coq, Déesse de la Liberté, Faisceau de licteur, Peinture, Piques, République
La Liberté ou la République (plutôt que la Révolution, me semble-t-il, comme le suppose le descriptif de vente) représentée en miniature et à la gouache, avec sa pique et son faisceau de licteur. On remarque la présence du coq, et des canons avec leurs boulets. On remarque aussi que la figure féminine est très dénudée: les deux seins, et non un seul comme le plus souvent, et une robe fendue jusqu’à la taille. Je n’ai pas identifié les accessoires qui sont placés au premier plan, aux pieds de la «Déesse».
26 jeudi Nov 2020
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in≈ Commentaires fermés sur “Le plaisir, entraînant la jeunesse, est vainqueur de la raison” ~ par Anatole Devosges (1795)
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Anatole Devosges, David, Morale, Peinture, Pierre Paul Prud'hon
Ce tableau d’ANATOLE DEVOSGES (1770-1850), exposé au Salon de 1795, est en vente.
Voici un résumé de la présentation faite sur le site du vendeur, d’après le livre Les Salons de la Révolution française (1789-1799), de Jean-François Heim, Claire Beraud et Philippe Heim. On verra que Devosges a, en quelque sorte, « récupéré » un sujet moraliste de Prud’hon.
Dès son séjour romain, Pierre Paul Prud’hon imagine une composition allégorique à quatre personnages. L’Amour séduit l’Innocence, le Plaisir l’entraine, le Repentir suit , pour laquelle il multiplie dessins et esquisses. Rentré à Paris en 1788, il abandonne ce sujet anacréontique et moral et ne le reprend que sur demande de l’impératrice Joséphine en 1809. Le divorce impérial va amener le peintre à ne pas terminer complètement cette version, aujourd’hui conservée au musée des beaux-arts du Canada à Ottawa.
Anatole Devosges étudie à Paris dès 1788 chez Jacques-Louis David et participe aux concours de l’école des Beaux-Arts. Prud’hon prend sous son aile le jeune peintre, fils de son ancien maître François Desvoges, et partage avec lui son atelier parisien.
15 dimanche Nov 2020
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in≈ Commentaires fermés sur “Les portraits de Robespierre” ~ par Hippolyte Buffenoir (en ligne sur Gallica)
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Gallica, Hippolyte Buffenoir, Peinture, Robespierre, Sculpture
Parmi les 35 000 nouveautés en ligne sur le site Gallica – outre de trop nombreux documents d’accès payant – ce livre de Buffenoir sur les portraits de Robespierre.