• À PROPOS…

LA RÉVOLUTION ET NOUS

~ le blogue historien de Claude Guillon

LA  RÉVOLUTION  ET  NOUS

Archives de Tag: Colonies

Image

“Le statut de la femme esclave dans les colonies occidentales françaises” ~ par Cécilia Elimort-Trani

13 dimanche Nov 2022

Étiquettes

Cécilia Elimort-Trani, Colonies, Esclavage

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Publié par Claude Guillon | Filed under «Annonces»

≈ Commentaires fermés sur “Le statut de la femme esclave dans les colonies occidentales françaises” ~ par Cécilia Elimort-Trani

“Penser les échecs de la Révolution” de Jean-Clément Martin (pour paraître le 27 octobre)

05 mercredi Oct 2022

Posted by Claude Guillon in «Annonces», «Bibliothèque»

≈ Commentaires fermés sur “Penser les échecs de la Révolution” de Jean-Clément Martin (pour paraître le 27 octobre)

Étiquettes

Colonies, Jean-Clément Martin, Jean-Jacques Rousseau, Lutte des classes, Vendée, Voltaire

Cliquez sur les images pour les AGRANDIR.
Page dédiée sur le site de l’éditeur.

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Image

“Les libres de couleur à Bordeaux” ~ conférence par Julie Duprat

28 mercredi Sep 2022

Étiquettes

Colonies, Esclavage, Julie Duprat

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Publié par Claude Guillon | Filed under «Annonces»

≈ Commentaires fermés sur “Les libres de couleur à Bordeaux” ~ conférence par Julie Duprat

Rendez-vous avec chercheuses & chercheurs à la Bibliothèque Julien Gracq de Nantes

02 lundi Mai 2022

Posted by Claude Guillon in «Annonces», «Bibliothèque»

≈ Commentaires fermés sur Rendez-vous avec chercheuses & chercheurs à la Bibliothèque Julien Gracq de Nantes

Étiquettes

Alan Forrest, Assignats, Colonies, Esclavage, Jean-Pierre Le Crom, Laure Despres, Livio Boni, Marc Boninchi, Pierre Musso, Racisme, Semion Anissimovitch Fa'lkner, Serge Aberdam, Sophie Mendelsohn

Cliquez sur les images pour les AGRANDIR.

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

“Race et Révolution française” ~ colloque le 26 novembre (Paris XIIIe)

08 lundi Nov 2021

Posted by Claude Guillon in «Annonces»

≈ Commentaires fermés sur “Race et Révolution française” ~ colloque le 26 novembre (Paris XIIIe)

Étiquettes

Éric Saunier, Bruno Maillard, Cécile Vidal, Colonies, Ian Coller, Jennifer Palmer, Karine Rance, Manuel Covo, Racisme

Lien vers la page permettant de s’inscrire.

La question de la race a été remise au cœur de la réflexion scientifique depuis plusieurs années. C’est un sujet particulièrement sensible en France, comme l’ont montré récemment l’intensité des débats déclenchés successivement autour de la publication du livre de Gérard Noiriel et Stéphane Beraud (Race et sciences sociales) puis à l’occasion du Bicentenaire de la mort de Napoléon. A la lisière du champ académique et de la sphère politique, la polémique autour de l’islamo-gauchisme présumé d’une partie du monde universitaire français est aussi la preuve de cette sensibilité sociétale aux origines de laquelle il est un constat : l’utilisation de la catégorie « race » est vue comme difficilement compatible avec l’universalité des valeurs affirmée en France depuis et par la Révolution française.


La Révolution apparaît de ce fait comme le moment fondateur de l’articulation politique entre race et intégration nationale en France. Ce sujet, malgré son importance, a été longtemps tenu à distance par les historiens français pour de nombreuses raisons: son incompatibilité avec l’universalisme, le refus à l’époque de la guerre froide de la perspective atlantiste ouverte par R. Palmer et J. Godechot, les réticences à l’égard d’une histoire culturelle. Mais depuis que les colonies ont été remises au cœur des études révolutionnaires il y a plus de trente ans, puis considérées dans une perspective globale qui invite à la placer sur le devant de la scène de la réflexion historique sur la période révolutionnaire, la question de la race occupe une place de choix dans le champ des études sur la Révolution, comme en témoignent des publications récentes (F. Régent, P. Serna, JF Niort, Les colonies, la Révolution française, la loi).

Dans quelles mesures la notion de race est-elle opératoire pour mieux comprendre l’histoire de la Révolution ?
S’agit-il d’une catégorie plaquée sous l’effet du développement des études atlantiques sur une réalité sociale et un contexte historique dans lequel elle n’est pas pertinente, ou au contraire le résultat d’une internationalisation fructueuse de la recherche révélant un long «aveuglement à la couleur» du monde universitaire français (Pap Ndiaye, Jean-Frédéric Schaub) ?
Y a-t-il une spécificité, due à l’affirmation au moment de la Révolution des principes universels et à la volonté de les exporter, dans la conception qu’a la France d’articuler la race et la citoyenneté?
A l’heure où l’esclavage est aboli et où l’anthropologie fonde un savoir nouveau sur l’humanité (J.-L. Chappey), des hiérarchies sont établies entre des populations racialisées (A. Lafont ; C. Vidal). Faut-il y voir une «fabrique européenne de la race» (Cahiers d’histoire 2020)?


Dans quelle mesure la révolution a-t-elle modifié dans les colonies un ordre social fondé sur la race et le genre, qui rencontrait déjà des résistances dans la sphère domestique (J. Palmer) ?
Ces questions seront au cœur de notre journée d’étude pendant laquelle on aura soin aussi de relativiser le poids de ces constructions, qui relèvent de politiques complexes et plurielles de la race (M. Covo).

Les champs d’étude s’étendront à l’Océan Indien, aux Caraïbes, à l’Empire ottoman, et au territoire métropolitain.

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Hommage à Marcel Dorigny (vidéos)

24 vendredi Sep 2021

Posted by Claude Guillon in Vidéothèque

≈ Commentaires fermés sur Hommage à Marcel Dorigny (vidéos)

Étiquettes

Colonies, Esclavage, Marcel Dorigny

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Marcel Dorigny (1948-2021)

24 vendredi Sep 2021

Posted by Claude Guillon in «Annonces»

≈ Commentaires fermés sur Marcel Dorigny (1948-2021)

Étiquettes

Annales historiques de la Révolution française, “Dix-huitième siècle” (revue), Colonialisme, Colonies, Esclavage, Marcel Dorigny, Nécrologie

On apprend le décès, hier, de l’historien Marcel Dorigny, spécialiste de la colonisation et de l’esclavage. Il fut membre du comité de rédaction des Annales historiques de la Révolution française (1995-2000), longtemps directeur de la revue Dix-huitième siècle, et pilier de la Société française d’histoire des Outre-mers (Sfhom). Il est l’auteur d’un grand nombre d’articles et d’ouvrages.

Dernière minute: Les obsèques auront lieu le 30 septembre, à 15h30, au crématorium du Père Lachaise.

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Société des Amis des Noirs (1788-1790) ~ Libre-accès à l’édition électronique de son registre

29 mardi Juin 2021

Posted by Claude Guillon in «Annonces», «Documents»

≈ Commentaires fermés sur Société des Amis des Noirs (1788-1790) ~ Libre-accès à l’édition électronique de son registre

Étiquettes

Bibliothèque Mazarine, Colonies, Esclavage, Jacques Pierre Brissot, Mirabeau, Société des Amis des Noirs

La Société des Amis des Noirs, créée en février 1788, fut la première société abolitionniste française. Son combat et celui de ses membres, parmi lesquels Mirabeau, Condorcet, La Fayette ou l’abbé Grégoire, a été à l’origine de la première abolition de l’esclavage en France (4 février 1794).

La Bibliothèque Mazarine conserve depuis 2003 le registre des délibérations de la Société parmi de nombreuses sources relatives à l’histoire des Antilles et de l’esclavage. Elle a souhaité mettre cette source essentielle à la disposition du plus grand nombre, chercheurs, enseignants ou simples curieux. En partenariat avec le pôle Document numérique de la MRSH de Caen, elle en propose donc une édition numérique à cette adresse.

Cette édition permet la consultation du registre enrichi d’un apparat critique, et offre en regard un accès au fac-similé diffusé par Mazarinum, la bibliothèque numérique de la Bibliothèque Mazarine.

On note le nom initial de la Société, qui ne devient que par la suite «Société des Amis des Noirs»

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Napoléon et l’esclavage ~ la déclaration de cinq historiens

08 mardi Juin 2021

Posted by Claude Guillon in «Articles»

≈ Commentaires fermés sur Napoléon et l’esclavage ~ la déclaration de cinq historiens

Étiquettes

Barbé-Marbois, Bernard Gainot, Colonies, Decrès, Erik Noël, Esclavage, Jean-François Niort, Lionel Trani, Napoléon, René Belénus, Richepanse

Condamner le rétablissement de l’esclavage colonial et de la ségrégation de couleur par Napoléon dans les colonies françaises n’est pas anachronique !

En ce «mois des mémoires» de l’esclavage et de ses abolitions, qui coïncide cette année avec la commémoration du bicentenaire de la mort de Napoléon Bonaparte, célébré notamment par un dépôt de gerbe et un discours très nettement élogieux devant le tombeau des Invalides par le président de la République le 5 mai dernier, on a entendu récemment plusieurs voix s’élever, y compris celle du premier magistrat de notre pays, contre le risque d’«anachronisme» que constituerait la condamnation morale, dès l’époque où il a eu lieu, du rétablissement de l’esclavage colonial et de la ségrégation de couleur auquel s’est livré le Premier consul à partir de 1802. Un éditorial de votre rédaction a même été jusqu’à se féliciter du silence présidentiel lors de la commémoration du 10 mai suivant sous prétexte que la lutte contre les discriminations et la défense des minorités pousseraient certains à commettre de «singuliers anachronismes» pour obtenir une «réécriture de l’histoire», au nom du «préjudice subi» et des «souffrances endurées».

Historiens spécialisés en histoire coloniale, nous tenons ici à rappeler que le seul fait qu’il y ait eu une conscience abolitionniste de nature universaliste en France, inspirée de la philosophie des Lumières et qui s’est exprimée juridiquement sous la Révolution de manière légale et concrète, à partir de 1794, invalide entièrement tout anachronisme en la matière. En effet, 8 ans avant le rétablissement, la loi du 4 février 1794 avait officiellement et solennellement aboli l’esclavage dans toutes les colonies françaises, en précisant que dorénavant, en application des droits « inaliénables et sacrés » à la liberté et à l’égalité proclamés dès la fin du mois d’août 1789 dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, «tous les hommes, sans distinction de couleur, domiciliés dans les colonies, sont citoyens Français et jouiront de tous les droits assurés par la Constitution». De plus, toujours en application de ces mêmes principes, les colonies avaient été transformées en départements français dans la Constitution directoriale de 1795. Or, Bonaparte a pourtant délibérément :

– fait replonger ces territoires dans le statut de colonies soumises à un régime législatif dérogatoire, à travers l’article 91 de la Constitution qu’il a institué en décembre 1799 ;

  • fait abroger le loi de février 1794 par la loi du 20 mai 1802, qu’il a fait voter et qui « maintient » (c’est-à-dire légalise à nouveau) l’esclavage et la ségrégation de couleur dans les colonies où la loi de 1794 n’avait pas pu s’appliquer concrètement, à savoir La Martinique, l’île de France et l’île Bourbon, tout en légalisant la traite négrière vers toutes les colonies ;
  • et alors qu’en novembre 1801 il affirmait encore officiellement le contraire, a rétabli cet esclavage et cette ségrégation dans des territoires où l’abolition de 1794 avait pourtant été appliquée, c’est-à-dire d’une part à la Guadeloupe – à travers d’une part la féroce répression menée par une expédition militaire punitive commandée par le général Richepanse en mai 1802, et d’autre part un arrêté consulaire du 16 juillet suivant qui se révèle juridiquement contraire à la constitution de l’an VIII et de surcroît en principe inopposable puisque non publié au Journal officiel – , et d’autre part à la Guyane, à travers un arrêté consulaire, tout aussi illégal, du 7 décembre suivant, appliqué en 1803 par le gouverneur Victor Hugues, ce double rétablissement constituant un fait sans précédent et sans pareil dans l’histoire moderne et contemporaine ;
  • qu’il a tenté, heureusement vainement, de faire de même dans la partie française de Saint-Domingue, libérée depuis 1793, à travers un corps expéditionnaire de 30.000 hommes commandé par son beau-frère le général Leclerc ;
  • qu’il a étendu à la France métropolitaine le rétablissement de cet ordre colonial esclavagiste et ségrégatif à travers une série de mesures subséquentes (arrêtés consulaires du 29 mai 1802 éloignant de Paris les officiers, sous-officiers ou soldats de couleur, et du 25 juin suivant interdisant l’accès, sauf autorisation exceptionnelle, du territoire métropolitain aux noirs et métissés ; circulaire du 8 janvier 1803 prohibant les mariages entre noirs et blancs, en tolérant ceux entre blancs et métissés) ;
  • et enfin que, devenu «empereur des Français» et ayant ordonné l’application du Code civil de 1804 aux colonies l’année suivante, il a décrété que cette extension ne porterait pas atteinte à l’ordre colonial tel que rétabli en 1802, et notamment la stricte « ligne de démarcation » tracée par le droit entre les «trois classes» de la société coloniale, à savoir les blancs, soumis au Code civil, les libres de couleur, soumis au Code civil mais sans pouvoir nouer de relations juridiques civiles (mariage, donations, etc…) avec les blancs, et enfin les esclaves, soumis au Code Noir rétabli en 1802.

Et tout ceci, d’une part, en s’entourant volontairement de collaborateurs ouvertement esclavagistes, tels l’amiral Decrès, son ministre de la Marine et des Colonies, et Barbé-Marbois, son ministre du Trésor. Et d’autre part en s’appuyant, dans les motifs de la loi du 20 mai et du projet de l’arrêté du 16 juillet, sur des présupposés et convictions racialistes pseudo-scientifiques selon lesquels, par exemple, les Noirs seraient par nature incapables de jouir de la liberté de manière raisonnable. Des présupposés similaires à ceux exprimés au même moment (1801-1802) par des auteurs comme le général Baudry-Deslozières, conseiller au ministère des Colonies, ou le médecin Julien-Joseph Virey, dans leurs ouvrages respectifs Les égarements du nigrophilisme et l’Histoire naturelle du genre humain, donc bien avant les ouvrages et discours de la fin du XIXe siècle, apparus au moment où la IIIe république se lance dans une nouvelle aventure coloniale et dans lequel on avait coutume jusqu’à maintenant de placer la naissance du racisme moderne.  

Longtemps occultés par le récit national, ces faits historiques sont encore trop méconnus, ce qui, conjugué au processus de glorification, de mythification et de « patrimonialisation » dont a fait l’objet la figure de Napoléon Bonaparte dans notre pays (et ailleurs), explique pourquoi ils paraissent parfois «anachroniques» et «réécrits» lorsqu’on les rappelle, car tellement éloignés de l’image nationale de Napoléon. De fait, pourtant, s’il y a un anachronisme et une réécriture de l’histoire en l’espèce, c’est bien ceux qui consistent à présenter Napoléon comme le «sauveur» et le «propagateur» des idéaux et de l’héritage de la Révolution française, en tout cas dans les colonies françaises. Car si cela fut vrai, dans une certaine mesure et avec le recul, en Europe, à travers notamment l’exportation des principes de souveraineté nationale et d’égalité civile, c’est bien plutôt l’Ancien régime qui est rétabli dans les territoires français d’outre mer entre 1802 et 1805.

Et il en alla de même – il n’est pas non plus anachronique de le condamner dans une perspective républicaine -, à travers le statut d’infériorité dans lequel retombe la femme dans le Code civil de 1804, après pourtant que le Code civil de 1793 lui avait également appliqué les principes révolutionnaires en l’émancipant de la tutelle absolue du mari.  

En ce jour du sacrifice du commandant Delgrès et de ses 300 compagnons au cri de «Vivre libre ou mourir» face au corps expéditionnaire de Richepanse, ce sont bien davantage, à nos yeux d’historiens et de citoyens républicains français, ces héros qui sont restés fidèles à l’héritage révolutionnaire, et nous sommes fiers de leur rendre hommage à travers ces lignes.

Fait en Guadeloupe, ce 28 mai 2021

Les signataires

– René Belénus, historien, a notamment publié L’esclave en Guadeloupe et en Martinique du XVIIe au XIXe siècle (éd. Jasor, 1998), 1802. La guerre de la Guadeloupe (éd. Benès, 2001).

– Bernard Gainot, historien (Université Paris VIII), a notamment publié, avec M. Dorigny, l’Atlas des esclavages (cf. supra), et plus récemment L’empire colonial français, de Richelieu à Napoléon. 1635-1810 (Armand Colin, coll. U, 2015).

– Jean-François Niort, historien du droit (Université des Antilles), historien du droit, a notamment publié Homo civilis. Pour une histoire politique du Code civil français (thèse Paris I, 1995), PUAM, 2004, 2 vol., et Code noir (Dalloz, 2012). Il a également dirigé les ouvrages collectifs Du Code Noir au Code civil (L’Harmattan, 2007) et, avec O. Pluen, Esclavage, traite et autres formes d’asservissement et d’exploitation, du Code Noir à nos jours (Dalloz, 2018).

– Erik Noël, historien (Université des Antilles), a notamment publié Etre noir en France au XVIIIe siècle (Tallandier 2006), et dirigé le Dictionnaire des gens de couleur dans la France moderne (Droz, 3 vol., 2011, 2015, 2017).

– Lionel Trani, historien (Université Paris I), a notamment publié La Martinique napoléonienne, 1802-1809. Entre ségrégation, esclavage et intégration (éd. SPM, 2014).

 

Initialement publié sur le blog Mediapart de Jacky Dahomay

 

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…

Affranchissement de deux esclaves (Cap-Français, 1785) ~ Élections aux États-généraux (Dijon, 1789)

18 mardi Mai 2021

Posted by Claude Guillon in «Documents»

≈ Commentaires fermés sur Affranchissement de deux esclaves (Cap-Français, 1785) ~ Élections aux États-généraux (Dijon, 1789)

Étiquettes

Anne Jaguey, États généraux, Colonies, Dijon, Esclavage, P.-C. Viel

Deux documents en vente dans le dernier catalogue de la Librairie historique Fabrice Teissèdre (n° 411, Mai 2021).

Share this:

  • Imprimer
  • E-mail
  • Twitter
  • WhatsApp
  • LinkedIn
  • Plus
  • Pinterest
  • Tumblr
  • Facebook

WordPress:

J’aime chargement…
← Articles Précédents

Entrez votre adresse mail pour être averti(e) des nouvelles publications

Rejoignez les 2 025 autres abonnés

Robespierre, les femmes et la Révolution (Éditions IMHO)

Un recueil de textes des Enragé·e·s (Éditions IMHO)

Gazouillons ! « La Révolution et nous » & « Lignes de force » sur le même fil Twitter

Follow @LignesDeForce

Blogroll

  • Annales historiques de la Révolution française
  • Archives du féminisme
  • Archives en libre accès
  • Éditions IMHO
  • Éditions L'Insomniaque
  • Éditions La Digitale
  • Éditions Libertalia
  • « A literary Tour de France »
  • «La Révolution française»
  • Bibliothèque Marguerite Durand
  • CIRA Lausanne
  • CIRA Marseille
  • Corps et politique
  • Genre et Classes populaires
  • Institut d'histoire de la Révolution française
  • Institut international d'histoire sociale
  • Jean Paul MARAT
  • Liberty, Equality, Fraternity
  • LIGNES DE FORCE
  • Mnémosyne
  • Musée de la Révolution (Vizille)
  • Noire métropole
  • Paris luttes info
  • Réflexivités
  • Révolution française
  • Révolution française et lutte des classes
  • Sentiers révolutionnaires
  • Société des études robespierristes (le carnet)
  • Société des études robespierristes (le site)

Les biographies de Théophile Leclerc & Pauline Léon (Éditions La Digitale)

Nuage

1793 Albert Mathiez Albert Soboul Amazones Anarchisme Annales historiques de la Révolution française Annie Duprat Annie Geffroy Babeuf Bonnet phrygien Charlotte Corday Christine Fauré Claire Lacombe Clubs de femmes Colonies Commune de 1871 Communisme Convention nationale Dames de la Halle Daniel Guérin Dominique Godineau Démocratie directe Emmanuel Macron Enragé·e·s Esclavage Femmes en armes Féminisme Guillaume Mazeau Guillotine Hervé Leuwers Hébert Jacobins Jacques Guilhaumou Jacques Roux Jean-Clément Martin Jean-François Varlet Jean-Jacques Rousseau Littérature Louis XVI Lumières Lutte des classes Marat Marc Belissa Marie-Antoinette Michel Biard Michel Onfray Olympe de Gouges Paul Chopelin Pauline Léon Peinture Philippe Bourdin Pierre Serna Prise de la Bastille Robespierre Républicaines révolutionnaires Révolution espagnole Sade Sans-culottes Serge Aberdam Société des études robespierristes Stéphanie Roza Terreur Théophile Leclerc Théroigne de Méricourt Théâtre Tricoteuses Utopie Vocabulaire Walter Markov «Conditions matérielles de la recherche» «Gilets jaunes» « Théorie du genre » Éditions IMHO Éditions Libertalia Éducation

Rubriques

  • «Annonces» (382)
  • «Articles» (219)
  • « Sonothèque » (7)
  • «Bêtisier» (73)
  • «Bibliothèque» (248)
  • «Billets» (26)
  • «Conditions matérielles de la recherche» (28)
  • «D'une révolution l'autre» (35)
  • «Démocratie directe XVIIIe-XXIe siècle» (12)
  • «De la révolution» (1)
  • «Documents» (238)
  • «Faites comme chez vous !» (14)
  • «La parole à…» (10)
  • «La propagande misogyne» (4)
  • «Mémo» (1)
  • «Sonothèque» (2)
  • «Textes de femmes» (30)
  • «Usages militants de la Révolution» (76)
  • Cartes postales (25)
  • Concordance guerrière (3)
  • La Révolution dans la publicité (4)
  • Littérature “grise” (12)
  • Vidéothèque (52)

Récent

  • “Les Jacobins: des centralisateurs?”, par Côme Simien 14 décembre 2022
  • “Faire, écrire et raconter la Révolution” ~ 13, 14 & 15 décembre 30 novembre 2022
  • “Contre-révolutionnaires? Des femmes résistent aux changements” ~ par Solenn Mabo 23 novembre 2022
  • “Le maître d’école du village au temps des Lumières et de la Révolution” ~ par Côme Simien 19 novembre 2022
  • Les mascottes des jeux olympiques et paralympiques de 2024 sont des bonnets phrygiens 15 novembre 2022
  • “Le statut de la femme esclave dans les colonies occidentales françaises” ~ par Cécilia Elimort-Trani 13 novembre 2022
  • “Policiers de Paris. Les commissaires de police en Révolution (1789-1799)” ~ par Vincent Denis 11 novembre 2022
  • “1793. Brûlez ces saints que l’on ne saurait croire” ~ par Philippe Bourdin 1 novembre 2022
  • “La grande peur de l’été 1789” ~ par Henri Vignolles 20 octobre 2022
  • “La république de Prieur de la Marne. Défendre les droits de l’homme en état de guerre, 1792-an II” ~ par Suzanne Levin 17 octobre 2022

Archives

Ça compte !

  • 313 687 : C'est le nombre de fois que des textes de ce blogue ont été consultés.

Un jour, un article

février 2023
L M M J V S D
 12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
2728  
« Déc    

De la Révolution

Suivez-moi sur Twitter

Mes Tweets

Coup d’œil

Lignes de force

Nouveau bulletin du CIRA Marseille

Bulletin de santé de décembre (réservé à celles et ceux que ça intéresse vraiment!)

Bracelet électronique obligatoire au collège (dans la Sarthe)

“NÉGATIF” (n° 32, septembre 2022)

Les enfants ont droit à une vie privée

Feuille d’infos du CIRA Marseille

<strong>De la discrète disparition du désir</strong>

“Les roses de l’alphabet” ~ de Guy Girard

“En quête d’héroïnes” ~ par Caroline Granier

Nouvelle livraison de “Casse-Rôles” ~ Maudite soit la guerre!

Propulsé par WordPress.com.

  • Suivre Abonné∙e
    • LA RÉVOLUTION ET NOUS
    • Rejoignez 256 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • LA RÉVOLUTION ET NOUS
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné∙e
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…
 

    %d blogueurs aiment cette page :