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LA RÉVOLUTION ET NOUS

~ le blogue historien de Claude Guillon

LA  RÉVOLUTION  ET  NOUS

Archives de Tag: Sans-culottes

“La Révolution française ~ Un spectacle à monter vous-mêmes”

09 mardi Août 2022

Posted by Claude Guillon in «Articles»

≈ Commentaires fermés sur “La Révolution française ~ Un spectacle à monter vous-mêmes”

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“Fête 89”, Dames de la Halle, Enragé·e·s, Sans-culottes

Quelques personnages d’une pièce… qui change de titre entre le couvercle du (grand) carton (42×81 cm) et le livret des dialogues!

Ledit carton contient, outre les fiches des personnages, un disque 33 t., deux cassettes de chansons et musiques (nous sommes en 1989…), plusieurs exemplaires du livret dont j’ai reproduit la page de titre, et quelques cartes carrées dont j’ignore l’usage.

Les personnages sont représentés de manière naïve (qui évoque certains mangas). On aura noté la présence de «L’Enragé».

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“Sade, la Révolution et la finance” ~ par Armelle St-Martin

10 vendredi Sep 2021

Posted by Claude Guillon in «Annonces», «Bibliothèque»

≈ Commentaires fermés sur “Sade, la Révolution et la finance” ~ par Armelle St-Martin

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Armelle St-Martin, Démocratie directe, Fouquier-Tinville, Marat, Sade, Sans-culottes, Section des Piques, Sections parisiennes

Voir la page dédiée chez l’éditeur.

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“Voltaire, père des sans-culottes”

15 jeudi Avr 2021

Posted by Claude Guillon in «Documents»

≈ Commentaires fermés sur “Voltaire, père des sans-culottes”

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Bonnet phrygien, Sans-culottes, Voltaire

Ce médaillon de cire est en vente sur ebay.

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“Les Vendéens. La dernière guerre civile française. Révolution/contre-révolution” ~ 4 CD audio par Jean-Clément Martin

29 vendredi Jan 2021

Posted by Claude Guillon in «Annonces», «Sonothèque»

≈ Commentaires fermés sur “Les Vendéens. La dernière guerre civile française. Révolution/contre-révolution” ~ 4 CD audio par Jean-Clément Martin

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«Colonnes infernales», Jean-Clément Martin, Napoléon, Sans-culottes, Turreau, Vendée

Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent cette histoire des Vendéens, analysée et expliquée par Jean-Clément Martin, professeur émérite de l’Université Paris 1, spécialiste de l’histoire de la Révolution française, de la Contre-Révolution et de la guerre de Vendée.
D’une escarmouche locale à la guerre civile, « la guerre de Vendée » est devenue le symbole de la contre-révolution. Dans le contexte révolutionnaire, les chouanneries vendéennes attisent les tensions nationales entre Montagnards et Girondins. Diverses parties de la société française rejoignent la révolte. La plus grande guerre civile de l’histoire de France débute et cristallise les contradictions de cette société en pleine transition. Jean-Clément Martin nous propose le récit vivant de cet épisode de l’histoire de France et donne des clés sur le processus mémoriel douloureux qui nous en sépare.

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Vœux

01 vendredi Jan 2021

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Aristocrates, Faïence, Sans-culottes

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Publié par Claude Guillon | Filed under Cartes postales

≈ Commentaires fermés sur Vœux

Carte postale offerte par “Le Petit Journal”

02 dimanche Août 2020

Posted by Claude Guillon in Cartes postales

≈ Commentaires fermés sur Carte postale offerte par “Le Petit Journal”

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Danton, Patriotisme, Première Guerre mondiale, Prise de la Bastille, Sans-culottes

Cette carte postale était «offerte par Le petit Journal». Petit journal, mais gros tirages, bien que déclinants à l’époque où elle est envoyée (1914). Journal républicain et conservateur, hostile à Dreyfus.

On peut supposer qu’elle constitue l’un des nombreux exemples de mobilisation (c’est le cas de le dire!) du folklore révolutionnaire de l’an II au profit du patriotisme cocardier. C’est que la bourgeoisie est en train – elle! – de réussir son «Grand Soir».

Le brave sans-culotte d’opérette n’a pas l’air particulièrement inspiré. Il faut dire que les vers de mirliton n’ont rien pour enthousiasmer: «Il faut démolir cette tour / C’est au peuple d’avoir son tour»…

Cliquez sur les images pour les AGRANDIR.

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“RÉCLAMATION DES DROITS DE L’HOME” [sic]… contre les distinctions par l’argent, formulée par des citoyens laborieux

01 mardi Oct 2019

Posted by Claude Guillon in «Documents»

≈ Commentaires fermés sur “RÉCLAMATION DES DROITS DE L’HOME” [sic]… contre les distinctions par l’argent, formulée par des citoyens laborieux

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Démocratie directe, Droit de vote, Loi martiale, Lutte des classes, Robespierre, Sans-culottes

Ce texte à l’orthographe – et à la typographie – calamiteuses est la protestation d’un groupe de citoyens laborieux contre la loi qui les prive du droit de vote sous le prétexte qu’ils ne gagnent pas assez d’argent (et donc ne s’acquittent pas d’un impôt «suffisant»). Nous sommes à la fin de 1789.

Les rédacteurs, qui protestent également contre la loi martiale – et menacent implicitement de recourir à l’émeute si les distinctions fondées sur l’argent ne sont pas abolies – confondent la date du 22 octobre, où la loi martiale est promulguée avec ostentation, avec celle du décret sur le suffrage censitaire. À leur décharge, notons que le 22 octobre est aussi le premier jour de discussion, à l’Assemblée, sur les propositions de son comité de législation sur les conditions d’éligibilité. On voit que la confusion de date exprime l’association que font ces sans-culottes des deux questions: droit de manifester et droit de vote.

Publié en brochure (De l’Imprimerie de Couturier, 7 p.), dont on peut voir ci-après la photo de la couverture, le texte sera repris dans le Journal encyclopédique ou universel du 1er janvier 1790 (t. I, Partie I, pp. 97-101.)

Promulgation de la loi martiale dans les places publiques de Paris, le 22 octobre 1789.

Intervention de Robespierre à l’Assemblée, le 22 octobre.

Cliquez sur les images pour les AGRANDIR.

RÉCLAMATION DES DROITS DE L’HOME

Nous Citoyens, qui payons une contribution directe inférieure au prix de trois journées de travail, réclamons les droits de l’home.

C’est un malheur pour nous de ne pouvoir ofrir à la Patrie qu’un faible tribut. Ce malheur est agravé par le décret de l’Assemblée nationale du 22 Octobre, qui nous prive du droit d’assister aux assemblées primaires des Citoyens, pour concourir aux élections des représentants destinés à la composition des assemblées municipales, provinciales et nationales.

Dans la déclaration des droits de l’home, l’Assemblée nationale a reconu que [l]es homes naissent et demeurent libres et égaux en droits.

Que les distinctions sociales .ne peuvent être fondées que sur l’utilité comune.

Que tous les Citoyens ont droit de concourir personelement, ou par leurs représentans, à la formation de la Loi, parce qu’ele est l’expression de la volonté générale.

Que la Loi doit être la même pour tous.

Que tous les Citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celés de leurs vertus et de leurs talens.

L’Assemblée nationale, en constatant les droits de l’home, les a reconus naturels, sacrés, inaliénables, imprescritibles [sic], et cependant elle nous prive du plus beau de nos droits.

Reconnaître que les distinctions sociales ne doivent résulter que des talens, des lumières et des vertus, et nous distinguer par une exclusion humiliante, c’est nous suposer incapables de talens, de lumières, de vertus; suposition notoirement injuste, puisque nous pouvons avoir parmi nous des Citoyens célèbres par leur philosophie, par leurs vertus, par leurs talens, par leurs lumières, par leur génie.

Nous somes malheureux, mais nous somes aussi bons Citoyens que peuvent l’être les puissans et les riches. Le patriotisme nous a fait faire les premiers pas vers la liberté. Guidés par ce vertueux sentiment, le 14 Juillet, nous avons afronté les premiers et les plus grands dangers, pour détruire ce goufre qui dévorait les victimes du despotisme.

Plus nous sommes malheureux, plus nous avons besoin d’apui. Nous en avons un na­turel et sufîsant dans le droit d’assister aux assemblées primaires des Citoyens, et d’y jouir, dans notre malheur, de la satisfaction consolatrice d’unir nos voix à celes des riches, et de pouvoir réclamer utilement et légitimement contre les abus, qui souvent ne pèsent que sur nous.

Le droit de présence et de sufrage aux assemblées p[r]imaires, résulte du droit qu’ont tous les Citoyens, de concourir personelement, ou par leurs représentans, à la formation de la Loi.

Nous somes une partie considérable, utile et laborieuse de la Nation, conséquement, si nous étions privés de ce droit de présence et de sufrage, la loi ne serait pas l’expression de la volonté générale.

Il faut que nous concourions par nous ou nos représentans par nous élus à la formation de la Loi, pour qu’ele puisse légitimement nous obliger.

Ces principes sont consacrés par la déclaration des droits de l’home.

Lorsqu’on nous a privé du plus beau droit civil, l’Assemblée nationale venait de décréter la Loi Martiale pour défendre et réprimer les atroupemens. Pour assurer son exécution, cette loi dégrade et condamne aux prisons, les gardes nationaux qui refuseraient de se servir de leurs armes contre leurs concitoyens atroupés. Ainsi, d’un côté, nous ne pourions pas légalement nous assembler, et voter avec les riches Citoyens; et, d’un autre côté, nous ne pourions pas nous réunir en troupes, pour faire valoir nos droits; nous nous trouverions ainsi réduits à un état absolument passif. Il est vrai que d’après la Loi Martiale, en cas d’atroupemens, nous pourions nomer six Comissaires pour exposer nos griefs et nos réclamations; mais la Loi prononçant des peines de prison, et même de mort contre les moteurs des atroupemens, nous ne pourions pas être assurés qu’on respecterait nos Comissaires facilement présumés moteurs des atroupemens. Nous ne pourions pas être certains de l’incoruptibilité de ces Comissaires désignés à l’instant et au hasard. Ces Comissaires ne pouraient rendre aucun compte de leur mission, puisque les atroupemens devraient, suivant la Loi, se diviser sans retard. Rien ne pourait nous garantir que nos réclamations seraient accueillies et jugées avec impartialité, avec cette vertu patriotique, qui devrait guider tout Administrateur public. Nous serions donc sans cesse exposés à être les victimes des abus dont toutes les administrations sont susceptibles,  tandis que les riches auraient les moyens de s’y soustraire.

En admetant pour un instant, la vertu la plus pure dans tous les Administrateurs publics, nous aurons toujours le droit de dire avec vérité, qu’aucune, puissance suprême n’a doné aux riches le pouvoir de délibérer et de décider exclusivement sur nos droits et nos devoirs civils. Ce pouvoir ne serait donc que le fruit d’une usurpation; il formerait une aristocratie qui nous réduirait à être les sujets de nos concitoyens, come le sont les simples habitans de la Pologne et de Venise. Cete aristocratie pourait ocasioner de grands malheurs, si les Gardes Nationaux obéissant à la Loi Martiale et aux ordres des Administrateurs, avaient l’inhumanité de se servir de leurs armes, pour dissiper nos atroupemens. C’est pour forcer les Gardes Nationaux à l’obéissance que la Loi Martiale les soumet à la peine de la prison, et d’être dégradés; ainsi, d’après cete Loi, les Gardes nationaux seraient exposés à une cruele alternative, si nous nous atroupions pour réclamer et soutenir nos droits.

Si l’on veut que nous n’ayons plus ni prétexte, ni droit de nous atrouper; si l’on veut rendre les atroupemens aussi criminels et aussi punissables qu’ils sont dangereux; qu’on révoque les décrets qui établissent entre les citoyens, des distinctions de fortune sur l’exercice de leurs droits naturels & sociaux, droits sacrés, inaliénables & imprescriptibles. Que ces droits soient respectés dans chaque Citoyen.

Tel est l’objet de nos vœux. Nous espérons avec confiance leur acomplissement, parce que nous somes assurés que les honorables Membres de l’Assemblée Nationale étant susceptibles d’erreurs corne homes, cherchent come législateurs, à découvrir la vérité, & veulent faire le bonheur de la Nation.

 

 

 

 

 

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«Rejecting “all the faces of subjugation”: Daniel Guérin on direct democracy, self-management and individual autonomy» ~ par David Berry

07 dimanche Juil 2019

Posted by Claude Guillon in «Articles»

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Anarchisme, Daniel Guérin, David Berry, Enragé·e·s, Kropotkine, Lutte des classes, Murray Bookchin, Prolétariat, Robespierre, Sans-culottes

«Rejeter “toutes les formes d’assujettissement”: Daniel Guérin sur la démocratie directe, l’autogestion et l’autonomie individuelle». Je donne ci-dessous le passage concernant la Révolution française de cet article de David Berry, que l’on peut lire intégralement et télécharger librement à cette adresse.

The French revolution and the birth of a ‘new type of democracy’

Unlike many on the left associated with postwar ideological renewal, most of whom would focus on a revision or reinterpretation of Marxism, often at a philosophical level, Guérin the historian began with a return to what he, like Kropotkin, saw as the source of revolutionary theory and praxis: in 1946, he published his study of class struggle in the First French Republic (1793–1797).  The aim of the book was to ‘draw lessons from the greatest, longest and deepest revolutionary experience France has ever known, lessons which would help regenerate the revolutionary, libertarian socialism of today’, and to ‘extract some ideas which would be applicable to our time and of direct use to the contemporary reader who has yet to fully digest the lessons of another revolution: the Russian revolution.’ Applying the concepts of permanent revolution and combined and uneven development, inspired by Trotsky’s History of the Russian Revolution, Guérin argued that the beginnings of a conflict of class interest could already be detected within the revolutionary camp between an ‘embryonic’ proletariat – the bras nus (manual workers), represented by the Enragés – and the bourgeoisie – represented by Robespierre and the Jacobin leadership. The influence of Kropotkin may also be detected in Guérin’s argument that the French Revolution thus represented not only the birth of bourgeois parliamentary democracy, but also the emergence of ‘a new type of democracy,’ a form of working-class direct democracy as seen, however imperfectly, in the ‘sections’ (local popular assemblies), which were for Guérin precursors of the Commune of 1871 and of the Soviets of 1905 and 1917.  In the second edition of the work (1968) he would add to that genealogy ‘the Commune of May 1968ʹ – which on the bicentenary of the 1789 revolution would be described by philosopher Victor Leduc, as ‘the first sketch of a permanent democracy, fusing and transcending both political democracy and economic democracy.’

Guérin’s interpretation emphasised the political ambivalence of the bourgeois Jacobin leadership which ‘hesitated continually between the solidarity uniting it with the popular classes against the aristocracy and that uniting all the wealthy, property- owning classes against those who owned little or nothing’. For Guérin, the essential lesson to be drawn from the French Revolution was thus the conflict of class interest between the bourgeoisie and the working classes. The dominant historiography – whether bourgeois, social democratic or Stalinist in Guérin’s eyes – tended to maintain the ‘cult of Robespierre’ and thus reinforce the labour movement’s dependence on bourgeois democracy, and were thus to be rejected.

This interpretation unsurprisingly proved controversial. Its political significance was that the Revolutionary Terror had been used as a parallel to justify Bolshevik repression of democratic freedoms and of more leftist movements. Stalin was seen by Communists as the reincarnation of Robespierre. The Jacobin tradition of patriotism and national unity in defence of the bourgeois democratic Republic has been one of the characteristics of the dominant tendencies within the French left.

Guérin accepted the classic interpretation of the Revolution as a bourgeois revolution, albeit one which was ‘bourgeois only in its results’. But following Kropotkin, he was keen to emphasise that without the constant pressure from the sans-culottes, the most audacious steps within the revolution would not have been taken, from the taking of the Bastille to the adoption of the Declaration of the Rights of Man and the Citizen to the campaign for dechristianisation. Guérin’s analysis was described by Eric Hobsbawm as ‘a curious combination of libertarian and trotskyist ideas – not without a dash of Rosa Luxemburg’.

The first half of Guérin’s interpretive introduction to his history of the revolution – not included in the abridged English translation – is concerned with his central argument that the French revolution was not only a bourgeois revolution which led to the creation of a parliamentary representative democracy; it was also characterised by the spontaneous preference of the more plebeian and more radical sans-culottes for more direct and more decentralised forms of democracy, notably in the shape of the municipal councils (communes) and the local ‘sections’.

This emphasis on the ‘forms of popular power’ created by the sans-culotte is something which Guérin insisted had too often been ignored or downplayed by ‘republican historians’ who had been content to portray the revolution as ‘the cradle of parliamentary democracy’. But it also represented ‘an embryonic proletarian revolution’ and consequently carried within it the ‘seed of a new form of revolu- tionary power whose features would become clearer during the proletarian revolu- tions of the nineteenth and twentieth centuries.’ As the American anarchist Murray Bookchin would put it:

«The sections provide us with a rough model of assembly organization in a large city and during a period of transition from a centralized political state to a potentially decentralized one. [. . .] The word ‘model’ is used deliberately. The [. . .] sections were lived experiences, not theoretical visions. But precisely because of this they validate in practice many anarchic theoretical speculations that have often been dismissed as ‘visionary’ and ‘unrealistic’».

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Au pied de la lettre…

01 samedi Déc 2018

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Sans-culottes

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Sans-culottes, le retour (en graffiti)

23 mercredi Mai 2018

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Sans-culottes

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